Praia, le 12 mai (Inforpress) – Le représentant de la Commission de la CEDEAO au Cap-Vert a élu aujourd’hui l’éducation et le partage des connaissances comme l’un des moyens pour améliorer la libre circulation sur la région, sans oublier que cela exige de la responsabilité.
Samuel Lamptey a fait ces déclarations lors de la réalisation, ce vendredi, du débat sur la libre circulation des personnes au sein de l’espace de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), qui s’inscrit dans le cadre des activités commémoratives du 48e anniversaire, le 28 mai, de la CEDEAO.
L’objectif principal de ce débat était d’aborder la question de la libre circulation, à savoir les conditions d’autorisation d’entrée et de séjour des citoyens des États membres de la CEDEAO au Cap-Vert, dans le cadre de l’accord de libre circulation sur cet espace.
Cependant, selon ce responsable, il faut encore beaucoup investir dans la visibilité de la CEDEAO au Cap-Vert, puisque on n’a pas tant fait, ainsi que dans les différents problèmes qui peuvent se développer avec notre pays.
ET/CP
Inforpress/Fin
